3 choses que j'apprends sur la guérison d'une rupture.

Image de Unsplash

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Je suis totalement coupable d'être dur envers moi-même. Cela s'est amélioré au fil du temps, mais j'ai un esprit analytique et j'ai utilisé cette façon critique de penser pour progresser après être passé de situations précédentes, en particulier les relations amoureuses.

Cependant, après ce dernier, je me suis promis d'être doux et de pratiquer la compassion avec moi-même afin de pouvoir être présent et rayonner de l'amour. Pour moi et pour les autres. Cette pratique, comme toute autre chose, requiert pardon et persévérance. Je suis mis au défi par l'Univers de répondre à l'occasion et ce fut un merveilleux voyage continu.

Voici 3 choses que j'apprends sur la guérison d'une rupture:

1. M'accorder du crédit est important.

Dans le passé, j'ai été sévère avec moi-même et j'ai oublié de m'attribuer le mérite de tout ce que j'ai bien fait. En raison de ma dureté, je ne me donnerais pas la chance de respirer et d'absorber ce qui s'est passé dans le passé parce que j'étais tellement concentré sur la réalisation de ma liste. Dans le processus, j'ai aussi oublié de regarder ce que je faisais bien. L'auto-soutien et la confiance en soi enlèvent le besoin de les rechercher auprès des autres, fournissant une base solide pour l'amour-propre et l'acceptation.

2. La croissance est un processus.

J'avais l'habitude d'avoir cette idée que la croissance signifiait toujours aller de l'avant. Mais, parfois, cela signifie tomber, pleurer, être en colère ou toute autre émotion et action que nous pouvons considérer comme faible ou négative. Hier, j'étais en réunion dans un café et une chanson que mon ancien partenaire avait écrite à mon sujet est apparue sur la chaîne stéréo. J'ai bien agi et je l'ai ignoré jusqu'à ce que, plus tard, je me retrouve à pleurer parce que je n'avais pas vraiment ressenti comment je ressentais vraiment le moment où j'ai entendu la chanson. Quand je pleurais, j'avais des souvenirs des bons moments et de la belle musique qui était créée à partir de son expression d'amour envers moi. Et puis je me suis souvenu de la suite. Je me suis demandé comment nous nous sommes retrouvés dans la position que nous avions et c'était profondément bouleversant. Je suis humain et être humain nécessite d'accepter les imperfections. Je ne suis pas un robot et je ne suis pas censé l'être. Je serai bouleversé par le passé et ça va. Cette fois, au lieu d'avoir toujours besoin d'être fort, j'accepte qu'être «faible» et émotif fasse également partie du processus.

3. Je n'ai pas besoin de tout avoir tout le temps.

En tant qu'ancienne danseuse et entourée de femmes fortes tout au long de ma vie, j'ai toujours ressenti la pression de toujours avoir tout ensemble, tout le temps. Ce qui est impossible. Donc, pour défier la loi de la folie (faire quelque chose de la même manière et attendre un résultat différent), je choisis de me libérer de cette idée. Si je finis par pleurer sur une situation, ça va. Mon monde ne s'écroulera pas, les gens ne me considéreront pas comme faible et je ne deviendrai pas une mauvaise personne si je ne mets pas toujours un visage de bravoure, de positivité et de force. Parfois, la chose la plus nourrissante que nous puissions faire est de nous détacher de la notion que nous sommes censés être parfaits, afin que nous puissions faire de la place à d'autres qui sont imparfaits et s'embrasser dans un lieu aimable et compatissant.